Voici quelques images des démolitions de différents batiments situés sur le périmètre du futur centre commercial Coty. Ces démolitions ont eu lieu à peut près en même temps durant l'année 1996.
Ci dessous, a l'angle des rues Albert André Huet et Casimir Périer. Sur la gauche se trouve actuellement la chocolaterie Auzou. Le batiment au premier se situe à l'emplacement de l'actuel Parvis René Coty.
La rue Casimir Périer. A gauche, la chocolaterie Auzou et au fond à droite, les arrières du Grand Magasin PRINTEMPS.
Un immeuble datant de la première moitié du XXeme siècle. Cette immeuble était situé au Nord de la rue Anatole France, là ou l'on trouve aujourd'hui la brasserie de Maitre Kanter. Nous pouvons voir cette immeuble en arrière plan sur la première photo.
Vue prise depuis la rue Anatole France en direction de l'Hotel de Ville. L'immeuble en question est vides d'occupents et n'en à plus que pour quelques jours...
La "Banane" de la rue Madame Lafayette. Cet immeuble datant de la reconstruction fut l'un des premiers à être détruit...(vue prise depuis la rue Anatole France).
Une maison abandonnée depuis plusieurs années, rue André Caplet, derrière le PRINTEMPS. N'oublions pas que les premiers rachats de logements ont débuté dans les années 80 sur l'Ilôt Thiers - Coty.
La "Banane" vue de l'intérieur, au croisement des rues Anatole France et Madame Lafayette (aujourd'hui en plein coeur du centre commercial).
Le chantier de débaliement entre la Banque de France et le PRINTEMPS.
Vue prise depuis la Banane en direction du carrefour Gallieni-Anatole France. Au sud du centre commercial Coty, un vaste projet immobilier va être réalisé par l'architecte havrais Jean Amoyal. Une nouvelle résidence en lieu et place des vieux immeubles et des hangars. Notez que l'immeuble situé au dessus de la boulangerie, n'était pas encore recouvert d'ardoises.
La rue Anatole France, au centre de la photo, au coeur d'un paysage de lendemain de bombardement.
Quelques jours plus tard, voici tout ce qu'il reste de l'immeuble cité en 3eme et 4eme photo.
Ce bel immeuble avait pourtant survécu à la table rase de Septembre 1944, mais il fut victime du progrès et de l'interêt commun. Le voici sur une vue aérienne datant de 1950:
Le parking situé derrière le PRINTEMPS, futur emplacement du plus grand MONOPRIX de France, le Monop' version "City Market". Sur la gauche, la rue Madame Lafayette.
A droite, vous remarquez l'arrière du Printemps.
La rue Gallieni en direction du Funiculaire. Le batiment sur la gauche fais partis du périmètre à détruire.
Ci dessous, le petit batiment cité sur les photos 7 et 8.
La rue Gallieni. Les deux immeubles situés sur la droite de l'immeuble en briques rouges doivent être détruit pour créer un passage en direction de la rue Jean Paul Sartre.
Destruction de l'immeuble en question. A droite, le rez de chaussée accueil toujours un coiffeur "Etoilium".
Gros plan sur la technique de désolidarisation des façades.
La démolition commence...
A cette occasion, la circulation avait été coupée dans la rue Gallieni.
L'arrière de l'immeuble, grignoté brique par brique.
La suite de l'histoire du Centre Coty à suivre prochainement...