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La Place de l'Hotel de Ville en 1955, au croisement du Boulevard de Strasbourg. A cette date le quartier est entièrement reconstruit, ainsi que Saint-François (dont on aperçoit les toits tout au fond). La photo est prise dpuis le dernier étage du Théatre de l'Hotel de Ville. Les autobus et trolleybus ont remplacés les trams. Cette photo est très proche du paysage d'aujourd'hui. Remarquez l'alignement de 4CV Renault le long du trottoir (juste derrière l'autobus, actuel terminus du 10). Ce véhicule était l'un des plus répendu à... [Lire la suite]

La Place Gambetta dans sa configuration ultime, c'est à dire 5 ans à peine avant sa destruction complète. La photo est prise depuis les étages des GALERIES DU HAVRE, le grand magasin à la mode avec le PRINTEMPS (A la boule d'Or) Face au Grand Théatre, les platannes abritent le marché au fleurs très prisé des havraises et de havrais. A gauche du Grand Théatre, l'Hotel-Brasseire Tortoni. La Brasserie Tortoni à vécu son heure de gloire entre 1914 et 1918, époque à laquel Le Havre était la base arrière du front allié. Des dixaines de... [Lire la suite]

Carte postale très rare du quartier de la Gare en 1946. Très rare car en 1946 les cartes postales n'étaient pas très rependuent (pénurie de papier oblige). Celle-ci représente le carrefour de la Gare, le Cours de la République en point de mire. Les tramways rendent de précieux services aux Havrais. A la même époque alors, que la plus part des villes de France abandonnaient ou avaient déjà abandonné leurs trams au profit du bus, Le Havre faisait exception à la règle en mettant en service de nouvelles rames et en rénovant les... [Lire la suite]

Cette photo prise au début du XXeme siècle représente le débouché de la rue de Paris sur la Place de l'Hotel de Ville (vue vers l'Est). Cet endroit à très peut changé aujourd'hui hormis que les vieux immeubles ont été remplacés par les ISAI Perret. En ce début de siècle, on retrouve les mêmes magasins qu'aujourd'hui...les chaussures Caron et Heyraud. Les chemisiers Biserier et la librairie Dombre. Le grand immeuble Haussmanien à gauche se trouve à l'emplacement actuel du magasin Alain Manoukian. Tout au bout de la rue Jules... [Lire la suite]

Ca faisait 50 ans qu'il n'y avait pas eu de timbre sur Le Havre. En 2008 ca sera chose faite. Ce timbre célèbrera l'entrée du Havre au patrimoine mondial de l'humanité... Voici le timbre de 1958:

Jusqu'en 1944, à hauteur de la rue Richelieu, dans une des plus vieille maison du Havre, se tenait une institution havraise: La Café de Paris. Sur cette photo prise au début du XXeme siècle, on remarque le grand magasin "Au Dé d'argent - au bonheur des dames". Après guerre, le café de Paris se réinstallera Place de l'Hotel de Ville. Après avoir été tranformé en Hippopotamus, le café de Paris a été détruit pour des raisons de perspectives (dans le discours officiel). L'UNESCO aurait soit disant demandé à la municipalité de... [Lire la suite]

La vue et prise depuis la brasserie Paillette (actuelle Résidence Paillette). La neige adoucie un peut se paysage de désolation. Cette photo a été utilisé lors des célébration du 60 eme anniversaire du débarquement, en Juin 2004.

Au coeur du vieux Havre: la place du vieux Marché... Certains immeubles dataient de François Ier. Avant guerre, la place du Vieux Marché communiquait directement sur la rue de Paris. De nombreux cafés entourraient la place ou avait lieu tous les jours un marché de gros qui alimentait toute la Normandie.

La rue de Paris, la mythique rue de Paris t'elle qu'elle était avant guerre. Une rue réputé pour son annimation trépidante, surtout le dimanche. Dès la création du Havre, cette rue (qui s'appelait alors "rue Saint Michel") était l'artère principale du centre-ville. Elle reliait la Porte Richelieu au Grand Quai. Elle fut prolongé au fur et à mesure de l'aggrandissement du Havre pour aboutir au début du XIXeme siècle sur la Place de l'Hotel de Ville. La photo ci-dessous date de 1938. C'est donc une des dernières photo de ce... [Lire la suite]

Le Havre, quartier Saint Roch, hiver 1944. Voila tout ce qu'il reste de la rue Jules Ancel (angle de l'actuelle rue Raymont Guenot). Le blanc manteau hivernal masque en partie les ruines mais accroît térriblement la détresse humaine des survivants. L'hiver 1944 fut l'un des hiver les plus rude du siècle... Parmi toutes ces ruines un seul immeuble à resisté à la pluie de fer et de feu. Il ne resistera cependant pas au plan de reconstruction de l'atelier Perret. PS: Au scond plan, on remarque distinctement le tracé de l'Avenue... [Lire la suite]